samedi 23 février 2008

Movies, Peliculas, Films !!

J'ai pris un peu de retard ces derniers temps.
Enfin, c'est normal dans un sens, on ne peut pas à la fois aller au ciné et blogger sur ce qu'on a vu :)

Du coup, je vous fais une petite séance de rattrapage avec trois ciné et un dvd :)

On commence par Le limier (Sleuth), version Kenneth Branagh avec Michael Caine et Jude Law. Je n'ai pas vu le film d'origine (1972, avec déjà Caine) et donc, j'ai la chance de ne pas pouvoir comparer. Du coup, je me suis régalé devant cet affrontement entre deux hommes, reliés par la même femme. On compte les coups pour notre grand plaisir !
En revanche, je pousse un cHri !
Comment un film de Kenneth Branagh avec Michael Caine et Jude Law ne peut sortir que dans 4 salles pour toute la France, enfin, pour ne pas dire pour tout Paris vu qu'il n'est pas sorti ailleurs. Il y a quand même un problème non?

Séance suivant, nettement plus décontractante et remplie d'action : Jumper (aucun rapport avec Jolly!).
Comme m'avait dit Thilde, je me suis rincé l'oeil. En fait, pas que ça car certes
Hayden et Jamie ont bien grandi, ce film possède un scénario !
Les effets spéciaux rendent le film vivant et la fin laisse évidemment supposer une suite.
Ce n'était donc pas seulement le film d'ado annoncé :)

Comme j'ai profité du Mk2 biblio pour Jumper, j'ai fini par craquer au mk2 dvd.
Cela faisait plusieurs semaines que je passais devant le dvd de Peter's Friends.
J'ai craqué et du coup, j'ai passé 101min de bonheur devant ce film où un diner de retrouvailles entre ami "part en live".
Les acteurs et actrices sont merveilleux, la fin est optimiste à souhait, c'est un petit bijou du cinéma anglais du début de années 90.
A signaler une bande son du tonnerre avec les succès pop 85/90 :)

Dernier film (4 en 10 jours quand même) et en plus, j'y allais vraiment comme ça, me disant que je n'allais pas aimer : Cloverfield.
J'avais trop peur du syndrome blair witch, film nul à chier où on ne voit rien.
Car Cloverfield reprend le principe du film entièrement filmé "à la main", on voit ce que film un personnage.
Et on voit tout !!!!
Le monstre, les dégâts, le sang, les attaques.
Bon, il reste que la fin n'est pas vraiment une fin, on se doute qu'il y a une suite, surtout avec ce qu'on entend à la fin du générique.

lundi 18 février 2008

C'est beau un bus la nuit.

Je ne sais pas si vous avez l'habitude de prendre le bus le soir, voire même de nuit. Cela m'arrive de temps de temps, en général, je n'ai pas envie de prendre le métro et comme je ne suis que très rarement pressé de rentrer....

Ce soir, l'optique était différente, c'était un trip "changement d'idées".

Du coup, on regarde un peu plus que d'habitude les gens, les alentours, le bus.
Et que voit on?

Des gens tout d'abord, qui n'ont pas l'air stressé, c'est ce qui surprend en premier. Entre les mères de famille qui rentrent de leur 2ème job, des jeunes qui vont ou rentrent de bar, des (plus forcement tout jeunes) cadres dynamiques qui finissent leur travail de la journée sur leur Blackberry, tout le monde semble serein.

Une personne est particulière dans cette ambiance : le conducteur. Il y a deux sortes : le cool et le pressé.
Le cool, il n'a pas encore fini son service, il fait visiblement la dernière rotation et il a donc tout son temps. Il dit bonjour aux gens, il attend pour démarrer.
A l'inverse, on trouve le pressé. Lui, il fonce comme un dingue, style battre le record de la ligne (exemple de ce soir : 30min pour faire Pyrénées Gare Montparnasse). Certes, on a tous les feux rouges (enfin, ils sont au vert quoi!), on a pas le temps de souffler, on s'accroche aux rambardes. Bref, on a compris, il faisait son dernier service et était pressé de rentrer.

Les alentours, et donc les rues, sont de deux sortes.
Discrétion pour les rues résidentielles ou de bureaux (quoique pour ces derniers, la tendance est quand même de laisser allumer, ça doit être bon pour la planète...). Les lumières venant des fenêtres indique le style de lampe, on compte les gens qui se couchent tard, et ce quartier par quartier.
Luminosité pour celles qui possèdent des restaurants, bars ou alors boutiques (fermées mais les lumières restent en partie allumées, planète si tu m'écoutes!). On se plait alors à lire les noms parfois lointains et appétissants, du moins tant que le second type de conducteur est à l'arrêt !

Ce soir, c'était à pieds, 62, à pieds, 64, à pieds, 96 et à pieds.
2h au total, avec parka, gants, bonnet et carte navigo intégrale.

(une chupa chups à la personne qui trouvera à quel chanteur fait référence le titre!)

lundi 11 février 2008

Bouleau

Mi février, à moins d'un mois de salutaires vacances, je me suis dit qu'il est temps de parler du travail.
Enfin, je vais plutôt faire comme une personnalité (acteur, comédienne, je ne sais plus) qui était venu dire pourquoi elle ne venait pas.
Moi je vais vous dire pourquoi je ne vais pas parler du travail sur mon blog :)

Déjà, il faudrait commencer par mettre en situation, le lieu, l'escalier, l'étage, le bureau lui même.
Après, il faudrait citer des gens.
Bon, là, ça se complique. Soit j'arrive à obtenir une attestation signée que je peux citer toutes les personnes que j'ai envie, soit on commence à mettre des initiales.

Sauf que bon, dire que "ABC est arrivé à la bourre une fois de plus, DEF n'a rien glandé de la journée et GHI n'a pas arrêté de me draguer de la journée", à la longue on va fatiguer (et même rapidement en fait!).
En plus, les initiales (ou les surnoms amusants), on va avoir ceux qui vont comprendre, qui en parleront et ceux qui comprendront rien.

Du coup, on en arrive au deuxième point : en parler, pourquoi pas, mais pour dire quoi?
Bon, je pourrait faire un truc technique, ultra précis, je serais ptet cité dans Google avec des liens directs. Mouais, ya mieux comme but que d'être sous Google (et puis, j'y suis déjà!).
Après, finalement, quand on parle du boulot, c'est du négatif.
Écoutez autour de vous, dans les pause, dans le métro, de quoi les gens parlent ils?
Machin a eu tel truc que moi j'ai pas eu, trucmuche n'a pas fait ci, moi le chef m'a encore ennuyé, machine ceci, la prod cela, la qualif encore et j'oubliais les collègues les plus proches.
Bref, médisances, radio moquette et pipoleries pour employer un mot à la mode !

Finalement, et cela sera le troisième et dernier point : le travail, autant en parler au travail et se vider la tête quand on y est plus :)

Ce post fût donc le seul qui parle du travail, mais sans en parler :)

A la prochaine !

mercredi 6 février 2008

Juno

Soirée lacrymale que ce mercredi.
Avant de revoir Un amour à taire (voir en dessous), je suis allé voir Juno au cinéma.

C'est un super mignon film avec une super mignonne jeune actrice (déjà vu dans le castrateur Hard Candy).
La morale est certes sauve (enfin... il faut voir!) mais c'est émouvant, sensible et pleins de bonnes répliques.
Et ne boudons pas le plaisir de revoir J.K Simmons (oui, spiderman mais aussi, et surtout, Oz) et Allison Janney, la fameuse C.J. Creeg de The West Wing.

Sinon, le film m'a permis de tester une des deux grandes salle du Mk2 bibliothèque.
C'est pas mal du tout, mais mon vertige n'est pas fan du long escalator montant !!!

Un amour à taire

France 2 vient de rediffuser le téléfilm Un amour à taire.
Je n'ai rien à ajouter....



En fait, si, j'ajoute quelque chose : 100000 ont été déportés, 15000 ne sont pas revenus...

Chiconneries (suite)

Juste un petit mot pour dire que j'ai mis en ligne les photos du weekend belge :)
Elles sont accessibles en cliquant ici!